(Pour les impatients, veuillez aller directement au texte entre les pointillés.)
La chaleur est intense ce soir. Au loin, les couleurs jaune, orange et rouge zèbrent le ciel avec ardeur. Je me sens si léger et en sécurité dans ma boîte en tôle, au-dessus des montagnes. Seul le bruit de mon moteur vient déranger ce calme si profond qui m’envahit lentement.
Il y a déjà plusieurs jours que nous survolons cette contrée infernale. Le feu s’est propagé sur des kilomètres et malgré nos efforts soutenus à raison de 16 heures par jour, rien n’y fait. Malgré tout, il faut garder espoir. Je commence à voir dans les yeux de mes camarades la peur. Elle est facile à deviner. Lorsque j’étais enfant, j’ai aperçu le même regard dans l’album de photos de mon grand-père. Les fusiliers qui allaient à la guerre avaient cette tristesse dans les yeux. Elle transcendait leur visage, elle prenait racine dans leur âme. En effet, la peur intense ressemble à une grande tristesse envahissante. Les hommes qui vont au combat, pour peut-être y mourir, ont tous ce même visage : une tristesse immense.
De magnifiques volutes de fumée poussiéreuse, vomies par le sol en braise, tentent d’échapper à leur terrible sort en fonçant vers le ciel et les cieux. Si je n’était pas partie prenante de ce spectacle terrifiant, je serais ébahi par de telles couleurs pyrotechniques. Mais toute cette féerie est bien réelle malheureusement. Les images dansent devant moi tandis que je tente de faire mon travail. Soudain, le ciel s’obscurcit, sans raison apparente.
Oh! Non! Pas encore une fois! Comme il m’est arrivé si souvent dernièrement, mon cerveau enregistre des images étranges. Je recommence à voir des formes dansantes, des fumées qui bougent comme des robes de femmes, des mouvements harmonieux causés par la chaleur intense, des sarabandes. Les courants colorés ascendants disparaissent pour laisser entrevoir une seule forme dansante. Elle bouge, se dandine, devient filiforme comme une tornade agonisante, reprend toute sa tête, se reforme en de somptueuses couleurs, devient féminine. Cette image dansante et rougeâtre emprunte la forme d’une femme qui se meut affectueusement et docilement devant mon regard. Le fond bleuté du ciel disparaît, je me sens défaillir et je suis transporté ailleurs…
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Une revue sur elle avait attiré mon attention. Un confrère mentionnait qu’elle était une fille belle dans tous les sens du mot. Pour cette raison, elle fut mon choix.
J’appelle au salon ‘Chez Alyson’, il s’agit d’une première fois. Une douce voix féminine me répond et je réserve une heure avec Maxime. Lorsque le lendemain en matinée, je confirme mon rendez-vous à l’ouverture du salon, une voix suave et chantante me répond gentiment. J’apprendrai par la suite que je parlais avec Maxime.
Encore des foutus travaux, la rue St-Pascal est bloquée d’un côté. Mon intention de sauver du temps était bien louable pourtant. Une gentille fille me reçoit à l’entrée et me dirige tout de suite à ma salle. Une belle douche transparente sur sa moitié, une table de massage et un lit au sol. De tout pour tous les goûts. Ma douche est terminée et je patiente pendant que ‘Cœur de Pirate’ me raconte des mots doux.
Le bouton de la porte tourne doucement, éternellement. La porte s’ouvre et Maxime apparaît. Ouf! Ouf! Encore et Reouf! Quelle belle fille. Environ 5 pieds 6 pouces, 110 livres, cheveux presque noirs au milieu du dos, yeux noisettes intelligents, visage sublime, petits sourcils légers et minces, bouche à croquer. Le corps qui soutient ce magnifique visage a été conçu dans le même moule, sous le même coup de pinceau d’un artiste éternel de génie. L’harmonie est parfaite, la symphonie est achevée, l’œuvre est impressionnante, le sculpteur s’est dépassé. Le responsable est devenu fou par la suite en réalisant que plus jamais il ne pourrait atteindre un tel niveau de création.
De belles épaules féminines un peu tombantes avec des courbes annonciatrices de beauté, des seins légers, mais raffermis, chacun avec un petit ornement au mamelon, un ventre doux et discret, des hanches qui pour Maxime sont trop minces mais qui pour moi soutiennent à merveille le chef-d’œuvre, des fesses musclées de la sportive (à vous de découvrir sa préférence), des cuisses de la douceur que l’on retrouve lorsque l’on caresse de la soie, des mollets raffinés et des pieds courts et féminins. Oh! Maxime, comme tu es belle. Je comprends maintenant pourquoi de tous temps des hommes ont combattu, pourquoi ils ont abandonné leur religion, pourquoi ils ont bravé les plus grands dangers, poussé leur courage à la limite. Ils avaient certainement toujours en tête une femme comme toi.
Elle me masse doucement, mais énergiquement partout dans le dos. Je lui pose des questions sur elle, sur sa vie, sur son travail, sur un peu tout, et elle me répond amusée, au ton chantant et sa joie de vivre et sa bonne humeur me submergent, me détendent, me rendent heureux. Je vois son corps un peu musclé qui glisse sur mon dos, ce miroir est bien généreux, et elle me masse la nuque, elle glisse sur moi et cette tiédeur me fait du bien. Je me contorsionne un peu pour toucher ses cuisses, que c’est bon. Sans m’en rendre compte, je suis sur le dos et cette Aphrodite me surplombe, offre ses deux belles poires à ma bouche, souffle dans mon cou.
Peu après, c’est à mon tour de masser, qui dans mon cas est beaucoup plus caresser partout, embrasser, jouer. Notre lieu de plaisir est modifié, nous sommes sur le lit au sol. Elle se couche sur le ventre et je profite de toutes ses splendeurs avec mes yeux, mes doigts, mes mains, ma bouche et mes lèvres. Une respiration haletante et de doux soupirs m’indiquent que je suis dans la bonne voie. Je crois que ma génétique me ramène continuellement à ce corps de femme, expression de beauté, de féminité, de tendresse et d’amour. Je rêve d’elle et moi, de nous, sur un endroit isolé, seuls au monde, et ce moment de plaisir, de bonheur dure autant que nous le voulons. Pour calmer mes ardeurs, j’essaie de regarder ailleurs, mais partout ou je regarde, je vois son corps et aucune partie n’est ordinaire. Peine perdue, je dois continuer à admirer cette beauté, pauvre de moi!
Oh! Temps, suspend ton vol, si tu prends le temps de m’écouter! Mais le Temps ne m’a pas entendu, il a fait la sourde oreille, il a suivi sa course vers nulle part, il a fait à sa tête. Il a filé, sans perdre son temps.
Elle utilise désormais sa belle main pour assouvir mes envies. Son visage est près de moi, je souhaiterais tant l’embrasser sur la bouche, mais elle ne m’autorise que les joues et le cou. C’est quand même pas si mal. Ma respiration est saccadée, incertaine, intense, les lumières dansent devant mes yeux, ‘Cœur de Pirate’ s’est même tue pour nous. Elle semble avoir une légère crainte que ca ne fonctionne pas. Si elle savait. Pour l’instant, tout se déroule comme l’heure de pointe sur un autoroute principal. Lorsque tous les véhicules veulent passer en même temps, le bouchon est énorme. Lorsque la libération arrive finalement, des quantités énormes et sans fin de petites voitures explosent littéralement dans toutes les directions à une vitesse folle. C’est ce qui nous arrive.
Maxime, femme de cœur, de plaisir et de beauté. Tes limites furent les miennes et ce fut très bien ainsi. Maxime m’a mentionné qu’elle trouve parfois injuste qu’un client, malgré le fait qu’il ait apprécié ses services, lui fasse une mauvaise revue car elle a refusé d’exécuter certains actes. Comment ne pas être d’accord avec elle?
Rendu au dehors, malgré une magnifique journée ensoleillée, j’étais heureux, mais aussi un peu triste. J’avais ce sentiment que je venais de quitter une amoureuse ou l’instant présent s’était passé trop vite. Si vous me demandez si je vais répéter l’expérience, posez-moi aussi en même temps la question suivante : Aimerais-tu qu’une belle femme, dans tous les sens que ces mots puissent exprimer, te prodigue des soins exclusifs? ہ vous maintenant d’y répondre.
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Je suis toujours dans mon avion, j’ai survolé le feu, l’immense brasier, je l’ai dépassé. Combien de temps a duré mon inconscience, je ne saurais le dire. Je suis heureux, je suis encore dans le ciel. Je me rappelle que j’ai une mission à terminer : livrer cette cargaison d’eau enfermée dans les entrailles de mon avion sur ce paysage infernal afin de vaincre l’incendie qui risque de consumer toute la région et bientôt attaquer la population. C’est mon dernier voyage pour aujourd’hui. Plus tard, à mon retour au sol, un autre officier possédera mon avion, le touchera, le dirigera et je serai quelque peu cocu. Malgré tout, je pourrai enfin me reposer, j’en ai bien besoin. Je ne suis jamais jaloux dans mon sommeil.
Les hommes au sol, des croix oranges en mouvement, me guident vers ma destinée. Ce soir, oui ce soir, comme j’aurais besoin d’un corps féminin sur lequel reposer mon corps, mais surtout mon esprit, mon inquiétude, ma peur, ma tristesse. Comme ce serait bon d’aimer doucement, longtemps, tendrement une Aphrodite, une déesse de l’amour. Rien que pour un instant oublier ma condition misérable d’homme en face de la souffrance des autres. Cette nuit sera longue, trop longue. J’aurais tellement besoin d’étendre un peu d’amour féminin sur ma peau brûlante. Finalement, je crois que je pourrai pas dormir…
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Amant Romantique
Femmes, si vous saviez combien votre corps, votre beauté, votre tendresse et votre féminité me comblent, vous auriez un peu pitié de moi. Femmes de rêve, je vous aime.
La chaleur est intense ce soir. Au loin, les couleurs jaune, orange et rouge zèbrent le ciel avec ardeur. Je me sens si léger et en sécurité dans ma boîte en tôle, au-dessus des montagnes. Seul le bruit de mon moteur vient déranger ce calme si profond qui m’envahit lentement.
Il y a déjà plusieurs jours que nous survolons cette contrée infernale. Le feu s’est propagé sur des kilomètres et malgré nos efforts soutenus à raison de 16 heures par jour, rien n’y fait. Malgré tout, il faut garder espoir. Je commence à voir dans les yeux de mes camarades la peur. Elle est facile à deviner. Lorsque j’étais enfant, j’ai aperçu le même regard dans l’album de photos de mon grand-père. Les fusiliers qui allaient à la guerre avaient cette tristesse dans les yeux. Elle transcendait leur visage, elle prenait racine dans leur âme. En effet, la peur intense ressemble à une grande tristesse envahissante. Les hommes qui vont au combat, pour peut-être y mourir, ont tous ce même visage : une tristesse immense.
De magnifiques volutes de fumée poussiéreuse, vomies par le sol en braise, tentent d’échapper à leur terrible sort en fonçant vers le ciel et les cieux. Si je n’était pas partie prenante de ce spectacle terrifiant, je serais ébahi par de telles couleurs pyrotechniques. Mais toute cette féerie est bien réelle malheureusement. Les images dansent devant moi tandis que je tente de faire mon travail. Soudain, le ciel s’obscurcit, sans raison apparente.
Oh! Non! Pas encore une fois! Comme il m’est arrivé si souvent dernièrement, mon cerveau enregistre des images étranges. Je recommence à voir des formes dansantes, des fumées qui bougent comme des robes de femmes, des mouvements harmonieux causés par la chaleur intense, des sarabandes. Les courants colorés ascendants disparaissent pour laisser entrevoir une seule forme dansante. Elle bouge, se dandine, devient filiforme comme une tornade agonisante, reprend toute sa tête, se reforme en de somptueuses couleurs, devient féminine. Cette image dansante et rougeâtre emprunte la forme d’une femme qui se meut affectueusement et docilement devant mon regard. Le fond bleuté du ciel disparaît, je me sens défaillir et je suis transporté ailleurs…
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Une revue sur elle avait attiré mon attention. Un confrère mentionnait qu’elle était une fille belle dans tous les sens du mot. Pour cette raison, elle fut mon choix.
J’appelle au salon ‘Chez Alyson’, il s’agit d’une première fois. Une douce voix féminine me répond et je réserve une heure avec Maxime. Lorsque le lendemain en matinée, je confirme mon rendez-vous à l’ouverture du salon, une voix suave et chantante me répond gentiment. J’apprendrai par la suite que je parlais avec Maxime.
Encore des foutus travaux, la rue St-Pascal est bloquée d’un côté. Mon intention de sauver du temps était bien louable pourtant. Une gentille fille me reçoit à l’entrée et me dirige tout de suite à ma salle. Une belle douche transparente sur sa moitié, une table de massage et un lit au sol. De tout pour tous les goûts. Ma douche est terminée et je patiente pendant que ‘Cœur de Pirate’ me raconte des mots doux.
Le bouton de la porte tourne doucement, éternellement. La porte s’ouvre et Maxime apparaît. Ouf! Ouf! Encore et Reouf! Quelle belle fille. Environ 5 pieds 6 pouces, 110 livres, cheveux presque noirs au milieu du dos, yeux noisettes intelligents, visage sublime, petits sourcils légers et minces, bouche à croquer. Le corps qui soutient ce magnifique visage a été conçu dans le même moule, sous le même coup de pinceau d’un artiste éternel de génie. L’harmonie est parfaite, la symphonie est achevée, l’œuvre est impressionnante, le sculpteur s’est dépassé. Le responsable est devenu fou par la suite en réalisant que plus jamais il ne pourrait atteindre un tel niveau de création.
De belles épaules féminines un peu tombantes avec des courbes annonciatrices de beauté, des seins légers, mais raffermis, chacun avec un petit ornement au mamelon, un ventre doux et discret, des hanches qui pour Maxime sont trop minces mais qui pour moi soutiennent à merveille le chef-d’œuvre, des fesses musclées de la sportive (à vous de découvrir sa préférence), des cuisses de la douceur que l’on retrouve lorsque l’on caresse de la soie, des mollets raffinés et des pieds courts et féminins. Oh! Maxime, comme tu es belle. Je comprends maintenant pourquoi de tous temps des hommes ont combattu, pourquoi ils ont abandonné leur religion, pourquoi ils ont bravé les plus grands dangers, poussé leur courage à la limite. Ils avaient certainement toujours en tête une femme comme toi.
Elle me masse doucement, mais énergiquement partout dans le dos. Je lui pose des questions sur elle, sur sa vie, sur son travail, sur un peu tout, et elle me répond amusée, au ton chantant et sa joie de vivre et sa bonne humeur me submergent, me détendent, me rendent heureux. Je vois son corps un peu musclé qui glisse sur mon dos, ce miroir est bien généreux, et elle me masse la nuque, elle glisse sur moi et cette tiédeur me fait du bien. Je me contorsionne un peu pour toucher ses cuisses, que c’est bon. Sans m’en rendre compte, je suis sur le dos et cette Aphrodite me surplombe, offre ses deux belles poires à ma bouche, souffle dans mon cou.
Peu après, c’est à mon tour de masser, qui dans mon cas est beaucoup plus caresser partout, embrasser, jouer. Notre lieu de plaisir est modifié, nous sommes sur le lit au sol. Elle se couche sur le ventre et je profite de toutes ses splendeurs avec mes yeux, mes doigts, mes mains, ma bouche et mes lèvres. Une respiration haletante et de doux soupirs m’indiquent que je suis dans la bonne voie. Je crois que ma génétique me ramène continuellement à ce corps de femme, expression de beauté, de féminité, de tendresse et d’amour. Je rêve d’elle et moi, de nous, sur un endroit isolé, seuls au monde, et ce moment de plaisir, de bonheur dure autant que nous le voulons. Pour calmer mes ardeurs, j’essaie de regarder ailleurs, mais partout ou je regarde, je vois son corps et aucune partie n’est ordinaire. Peine perdue, je dois continuer à admirer cette beauté, pauvre de moi!
Oh! Temps, suspend ton vol, si tu prends le temps de m’écouter! Mais le Temps ne m’a pas entendu, il a fait la sourde oreille, il a suivi sa course vers nulle part, il a fait à sa tête. Il a filé, sans perdre son temps.
Elle utilise désormais sa belle main pour assouvir mes envies. Son visage est près de moi, je souhaiterais tant l’embrasser sur la bouche, mais elle ne m’autorise que les joues et le cou. C’est quand même pas si mal. Ma respiration est saccadée, incertaine, intense, les lumières dansent devant mes yeux, ‘Cœur de Pirate’ s’est même tue pour nous. Elle semble avoir une légère crainte que ca ne fonctionne pas. Si elle savait. Pour l’instant, tout se déroule comme l’heure de pointe sur un autoroute principal. Lorsque tous les véhicules veulent passer en même temps, le bouchon est énorme. Lorsque la libération arrive finalement, des quantités énormes et sans fin de petites voitures explosent littéralement dans toutes les directions à une vitesse folle. C’est ce qui nous arrive.
Maxime, femme de cœur, de plaisir et de beauté. Tes limites furent les miennes et ce fut très bien ainsi. Maxime m’a mentionné qu’elle trouve parfois injuste qu’un client, malgré le fait qu’il ait apprécié ses services, lui fasse une mauvaise revue car elle a refusé d’exécuter certains actes. Comment ne pas être d’accord avec elle?
Rendu au dehors, malgré une magnifique journée ensoleillée, j’étais heureux, mais aussi un peu triste. J’avais ce sentiment que je venais de quitter une amoureuse ou l’instant présent s’était passé trop vite. Si vous me demandez si je vais répéter l’expérience, posez-moi aussi en même temps la question suivante : Aimerais-tu qu’une belle femme, dans tous les sens que ces mots puissent exprimer, te prodigue des soins exclusifs? ہ vous maintenant d’y répondre.
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Je suis toujours dans mon avion, j’ai survolé le feu, l’immense brasier, je l’ai dépassé. Combien de temps a duré mon inconscience, je ne saurais le dire. Je suis heureux, je suis encore dans le ciel. Je me rappelle que j’ai une mission à terminer : livrer cette cargaison d’eau enfermée dans les entrailles de mon avion sur ce paysage infernal afin de vaincre l’incendie qui risque de consumer toute la région et bientôt attaquer la population. C’est mon dernier voyage pour aujourd’hui. Plus tard, à mon retour au sol, un autre officier possédera mon avion, le touchera, le dirigera et je serai quelque peu cocu. Malgré tout, je pourrai enfin me reposer, j’en ai bien besoin. Je ne suis jamais jaloux dans mon sommeil.
Les hommes au sol, des croix oranges en mouvement, me guident vers ma destinée. Ce soir, oui ce soir, comme j’aurais besoin d’un corps féminin sur lequel reposer mon corps, mais surtout mon esprit, mon inquiétude, ma peur, ma tristesse. Comme ce serait bon d’aimer doucement, longtemps, tendrement une Aphrodite, une déesse de l’amour. Rien que pour un instant oublier ma condition misérable d’homme en face de la souffrance des autres. Cette nuit sera longue, trop longue. J’aurais tellement besoin d’étendre un peu d’amour féminin sur ma peau brûlante. Finalement, je crois que je pourrai pas dormir…
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Amant Romantique
Femmes, si vous saviez combien votre corps, votre beauté, votre tendresse et votre féminité me comblent, vous auriez un peu pitié de moi. Femmes de rêve, je vous aime.