forgiven490
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[English translation follows]
Combien sommes-nous d'amateurs actifs du massage sensuel érotique dans le Grand Montréal ? (Le Grand Montréal, c'est Montréal et les autres villes de l'île de Montréal, Laval, et les villes de la rive sud proches des ponts Champlain, Victoria et Jacques-Cartier.)
Faisons le calcul.
En faisant rapidement le tour des salons du Grand Montréal qui ont un site web, on dénombre facilement plus de 300 masseuses dont on annonce les charmes et le talent.
Chacune d'elles, en moyenne, se rend disponible trois jours de 12 heures ou l'équivalent à chaque semaine. Certaines plus, d'autres moins, mais en moyenne 36 heures par semaine.
Pour s'assurer une revenu intéressant, elles doivent servir 10 clients par semaine pour un bénéfice moyen de 60 $ par client, pour un revenu brut de 600 $ par semaine. Ce revenu brut équivaut à un revenu déclaré de 750 $ puisque la majorité des masseuses ne déclarent pas la majeure partie de leurs revenus et évitent de payer l'impôt. (Là, je m'avance et je me trompe peut-être, qu'on me corrige !)
750 $ par semaine, c'est 3,000 $ par mois et 33,000 $ par année pour 11 mois (le mois de vacances n'est pas payé !) Un revenu décent qui permet aux masseuses de rester dans le métier. Si je me trompe, qu'on m'explique ... intelligemment.
Il semble bien que les amateurs de massage sensuel érotique s'adonnent à leur loisir une fois par mois. Donc, 300 masseuses qui massent 40 clients par mois, c'est 12,000 amateurs.
Ces 12,000 amateurs dépensent en moyennne 130 $ par séance de massage. Soit 50 $ pour le salon et 80 $ pour la masseuse. (Après le départ du client, on se le repartage différemment, c'est sûr.) Ces 12,000 amateurs dépensent donc 1,560,000 $ par mois, et 18,720,000 $ par année. Si on inclut le reste de la province, on arrondit à 20,000,000 $ par année.
Nous, les amateurs de massage sensuel érotique, nous sommes une force économique. Notre loisir maintient plus de 300 emplois bien payés et encourage d'autres secteurs (publicité, huile de massage, serviettes, parcomètres, etc.)
Nous sommes une force politique. Nous sommes certainement tous des électeurs.
Pour peu qu'on s'organise, nous pourrions devenir une force sociale. Mais comme on pratique notre loisir dans l'anonymat et la clandestinité, il faut l'oublier. Mais, qui sait, un jour ...
Que pensez-vous de mes divagations ?
Les commentaires utiles et constructifs des vrais amateurs sont bienvenus. Les moralisateurs, les prédicateurs et autres dénigreux sont priés de s'abstenir.
Combien sommes-nous d'amateurs actifs du massage sensuel érotique dans le Grand Montréal ? (Le Grand Montréal, c'est Montréal et les autres villes de l'île de Montréal, Laval, et les villes de la rive sud proches des ponts Champlain, Victoria et Jacques-Cartier.)
Faisons le calcul.
En faisant rapidement le tour des salons du Grand Montréal qui ont un site web, on dénombre facilement plus de 300 masseuses dont on annonce les charmes et le talent.
Chacune d'elles, en moyenne, se rend disponible trois jours de 12 heures ou l'équivalent à chaque semaine. Certaines plus, d'autres moins, mais en moyenne 36 heures par semaine.
Pour s'assurer une revenu intéressant, elles doivent servir 10 clients par semaine pour un bénéfice moyen de 60 $ par client, pour un revenu brut de 600 $ par semaine. Ce revenu brut équivaut à un revenu déclaré de 750 $ puisque la majorité des masseuses ne déclarent pas la majeure partie de leurs revenus et évitent de payer l'impôt. (Là, je m'avance et je me trompe peut-être, qu'on me corrige !)
750 $ par semaine, c'est 3,000 $ par mois et 33,000 $ par année pour 11 mois (le mois de vacances n'est pas payé !) Un revenu décent qui permet aux masseuses de rester dans le métier. Si je me trompe, qu'on m'explique ... intelligemment.
Il semble bien que les amateurs de massage sensuel érotique s'adonnent à leur loisir une fois par mois. Donc, 300 masseuses qui massent 40 clients par mois, c'est 12,000 amateurs.
Ces 12,000 amateurs dépensent en moyennne 130 $ par séance de massage. Soit 50 $ pour le salon et 80 $ pour la masseuse. (Après le départ du client, on se le repartage différemment, c'est sûr.) Ces 12,000 amateurs dépensent donc 1,560,000 $ par mois, et 18,720,000 $ par année. Si on inclut le reste de la province, on arrondit à 20,000,000 $ par année.
Nous, les amateurs de massage sensuel érotique, nous sommes une force économique. Notre loisir maintient plus de 300 emplois bien payés et encourage d'autres secteurs (publicité, huile de massage, serviettes, parcomètres, etc.)
Nous sommes une force politique. Nous sommes certainement tous des électeurs.
Pour peu qu'on s'organise, nous pourrions devenir une force sociale. Mais comme on pratique notre loisir dans l'anonymat et la clandestinité, il faut l'oublier. Mais, qui sait, un jour ...
Que pensez-vous de mes divagations ?
Les commentaires utiles et constructifs des vrais amateurs sont bienvenus. Les moralisateurs, les prédicateurs et autres dénigreux sont priés de s'abstenir.