Le vent hurle à l’extérieur et torture la structure de métal du bâtiment. Le crachin balaie les vitres épaisses et résistantes comme si une immense chaudière se déversait soudainement et inlassablement. Les éclairs zèbrent le ciel et s’amusent à faire mourir et ressusciter les veilleuses extérieures. Il doit bien y avoir 15 heures que cet ouragan nous a frappé. Hier, les météorologues parlaient de tempête de niveau 2. Est-elle plus forte ou plus faible, nul ne saurait le dire.
J’étais censé finir ma période de 10 jours consécutifs de travail avant hier soir, mais on m’a avisé que je devais poursuivre étant donné les circonstances. Mes deux autres compagnons sont arrivés il y a six et trois jours. L’un dort présentement et l’autre est à la soupe. Les autres employés ont quitté pour des raisons de sécurité. Nous nous trouvons sur un bâtiment très étrange, particulier, hétéroclite, à plus de 50 mètres au-dessus de l’océan Atlantique nord. Ce bâtiment repose sur des tiges métalliques énormes fixées au fond de l’océan. C’est pourquoi, quand le vent intense comme aujourd’hui se déchaîne, la structure effectue une valse digne des meilleurs opéras strasbourgeois. Il faut avoir le cœur solide.
Notre travail est de surveiller la plate-forme d’exploitation afin que le pétrole au fond de la mer au large des côtes terre-neuviennes soit extrait régulièrement et proprement pour le plus grand bonheur des propriétaires déjà milliardaires, qui se prélassent présentement sur un magnifique navire de croisière, long comme plusieurs terrains de football, sous un radieux soleil, leurs pilotes s’assurant d’éviter la moindre chute de pression atmosphérique qui signifie du mauvais temps. Ici, nous n’avons pas cette chance.
Tout ce temps libre à écouter les plaintes lugubres du bâtiment me font rêvasser et je me souviens, je me souviens de mon dernier congé sur terre. Une bonne soirée de beuverie avec des amis pour débuter le tout, puis un peu de repos, ensuite récupérer le travail non accompli lors de mon absence prolongée, préparer mon nouveau quart de travail de 10 jours, et une fois tout cela achevé, meubler le temps qu’il me reste et en profiter pleinement.
J’ai toujours le visage et le corps de cette femme qui me reviennent en tête. Qu’elle était belle, que sa peau était douce. J’ai l’impression qu’elle est encore ici avec moi.....
Le temps est nuageux, un peu brumeux, juste parfait pour moi qui veux passer inaperçu. J’ai voulu revoir la belle Alycia mais encore une fois, nos horaires sont incompatibles. ہ ma dernière visite au Moulin Rouge, j’avais rencontré Cloé. Je me suis souvenu d’elle et j’ai réservé sa présence pour une heure.
Comme à chaque fois, Caro me reçoit gentiment en m’offrant un verre de vin que je refuse. Un seul plaisir à la fois, il faut savoir se limiter un peu. Elle me dirige vers ma chambre.
Une douche fraîche au début, puis lentement chaude et Cloé arrive. Le temps de m’essuyer et je suis tout à elle.
Cloé n’est pas mince, ni grosse. Par contre, ses cheveux noirs frisés sont très beaux. Des yeux verts magnifiques et une belle bouche ornent cette jolie tête. Des seins naturels de belle grosseur, si imposants que je n’arrive pas à les tenir dans ma main, même si je n’ai pas les plus grandes mains. Malgré leur grosseur et leur lourdeur, ils ont beaucoup de prestance et gardent le cap. ;-)
Cloé me fait un très bon massage au début, relaxant, vibrant. Par la suite, quelqu’un a dû augmenter le niveau du thermomètre car nos chaleurs corporelles sont montées et Cloé vient s’installer auprès de moi. Nous nous caressons pendant de longues minutes. Elle réagit très bien et me demande souvent mes besoins, ce que j’aime le plus et elle me l’offre. Mes demandes sont par contre toujours respectables, du moins je le crois.
Finalement, le temps du plaisir est venu. ہ ma demande, elle est au-dessus de moi, et elle crée avec ses seins un mouvement de va et vient sur mon instrument. Je dois avouer que malgré la belle rondeur de mon outil de plaisir, je n’arrive pas à remplir l’espace laissé vacant entre ses deux succulentes offrandes. Elle continue à s’exécuter, elle me regarde gentiment, avec désir, elle ouvre sa bouche et se lèche les lèvres à plusieurs reprises en voyant mon excitation, lance de petits mots cochons, soupir, halète, souffle. Tout cet enthousiasme a tôt fait de me libérer et je livre la marchandise dans un râle étouffé. Mon ventre est bien collé maintenant.
Par la suite, une serviette d’eau chaude pour éponger les dégâts. Cependant, l’heure n’est pas complétée et Cloé me le mentionne. Elle m’offre de finir ma séance en douceur, offre que j’accepte pour rétablir mon homéostasie. Avec ses ongles, elle grafigne doucement toutes les parties de mon corps et il est parcouru de doux frissons. Elle glisse ses mains sur moi et toute cette dynamique est vraiment délicieuse. Finalement la séance se termine. Une douche, quelques petits bisous, je descends et je rencontre Caro. Elle me demande si j’ai apprécié mon heure de détente. Bien sûr, comme toujours, le service était impeccable. J’ai été traité comme un V.I.P. ہ bientôt!
En résumé, si vous avez eu une journée difficile, si votre corps est paresseux, soufrant, Cloé est la personne indiquée pour remédier à cette situation. Ce n’est pas une fille racing, mais elle est fort jolie, très accueillante avec des cheveux et des yeux magnifiques. Par contre, sa plus belle qualité est qu’elle veut sincèrement et généreusement vous dorloter et vous gâter comme vous croyez que vous le méritez. Elle vous demande souvent vos besoins et malgré ses rares limites, elle essayera de vous satisfaire. Une fille remarquable pour combler des besoins de tendresse, d’affection et de détente. Elle nous fait nous sentir rapidement très bien.
Encore une fois, tout s’est passé trop vite, je suis à nouveau dehors et je marche vers ma voiture.....
Boum! Un choc formidable sur la vitre en face de moi me ramène à la réalité. Mon cœur s’emballe après coup et je sens une peur viscérale pénétrer en moi, mais ma raison a tôt fait de reprendre le dessus et je viens de comprendre qu’un oiseau égaré et de forte stature a percuté de plein fouet la vitre épaisse devant moi. Il a quitté son existence au même moment ou je quittais ma rêvasserie. Le cou cassé, cela ne pardonne pas. Pourtant, la tempête semble se calmer, j’entrevois au loin, du côté annonciateur de température, un début de clarté de couleur orange foncée. Le vent s’est lassé quelque peu, il semble perdre son plaisir à courir partout, inutilement. La pluie est moins dense, espacée, courbaturée. Dans quelques heures, tout sera fini. Même les plus grandes colères ne subsistent pas au temps!
Enfin, je pourrai retourner sur terre et reprendre une certaine vie humaine. Je pense déjà au plaisir, à l’alcool, aux femmes, à une femme, à cette femme que j’ai vu la dernière fois et qui m’avait offert le plus gentil et délicieux sourire.
Amant Romantique
Femmes de rêve, je vous aime
J’étais censé finir ma période de 10 jours consécutifs de travail avant hier soir, mais on m’a avisé que je devais poursuivre étant donné les circonstances. Mes deux autres compagnons sont arrivés il y a six et trois jours. L’un dort présentement et l’autre est à la soupe. Les autres employés ont quitté pour des raisons de sécurité. Nous nous trouvons sur un bâtiment très étrange, particulier, hétéroclite, à plus de 50 mètres au-dessus de l’océan Atlantique nord. Ce bâtiment repose sur des tiges métalliques énormes fixées au fond de l’océan. C’est pourquoi, quand le vent intense comme aujourd’hui se déchaîne, la structure effectue une valse digne des meilleurs opéras strasbourgeois. Il faut avoir le cœur solide.
Notre travail est de surveiller la plate-forme d’exploitation afin que le pétrole au fond de la mer au large des côtes terre-neuviennes soit extrait régulièrement et proprement pour le plus grand bonheur des propriétaires déjà milliardaires, qui se prélassent présentement sur un magnifique navire de croisière, long comme plusieurs terrains de football, sous un radieux soleil, leurs pilotes s’assurant d’éviter la moindre chute de pression atmosphérique qui signifie du mauvais temps. Ici, nous n’avons pas cette chance.
Tout ce temps libre à écouter les plaintes lugubres du bâtiment me font rêvasser et je me souviens, je me souviens de mon dernier congé sur terre. Une bonne soirée de beuverie avec des amis pour débuter le tout, puis un peu de repos, ensuite récupérer le travail non accompli lors de mon absence prolongée, préparer mon nouveau quart de travail de 10 jours, et une fois tout cela achevé, meubler le temps qu’il me reste et en profiter pleinement.
J’ai toujours le visage et le corps de cette femme qui me reviennent en tête. Qu’elle était belle, que sa peau était douce. J’ai l’impression qu’elle est encore ici avec moi.....
Le temps est nuageux, un peu brumeux, juste parfait pour moi qui veux passer inaperçu. J’ai voulu revoir la belle Alycia mais encore une fois, nos horaires sont incompatibles. ہ ma dernière visite au Moulin Rouge, j’avais rencontré Cloé. Je me suis souvenu d’elle et j’ai réservé sa présence pour une heure.
Comme à chaque fois, Caro me reçoit gentiment en m’offrant un verre de vin que je refuse. Un seul plaisir à la fois, il faut savoir se limiter un peu. Elle me dirige vers ma chambre.
Une douche fraîche au début, puis lentement chaude et Cloé arrive. Le temps de m’essuyer et je suis tout à elle.
Cloé n’est pas mince, ni grosse. Par contre, ses cheveux noirs frisés sont très beaux. Des yeux verts magnifiques et une belle bouche ornent cette jolie tête. Des seins naturels de belle grosseur, si imposants que je n’arrive pas à les tenir dans ma main, même si je n’ai pas les plus grandes mains. Malgré leur grosseur et leur lourdeur, ils ont beaucoup de prestance et gardent le cap. ;-)
Cloé me fait un très bon massage au début, relaxant, vibrant. Par la suite, quelqu’un a dû augmenter le niveau du thermomètre car nos chaleurs corporelles sont montées et Cloé vient s’installer auprès de moi. Nous nous caressons pendant de longues minutes. Elle réagit très bien et me demande souvent mes besoins, ce que j’aime le plus et elle me l’offre. Mes demandes sont par contre toujours respectables, du moins je le crois.
Finalement, le temps du plaisir est venu. ہ ma demande, elle est au-dessus de moi, et elle crée avec ses seins un mouvement de va et vient sur mon instrument. Je dois avouer que malgré la belle rondeur de mon outil de plaisir, je n’arrive pas à remplir l’espace laissé vacant entre ses deux succulentes offrandes. Elle continue à s’exécuter, elle me regarde gentiment, avec désir, elle ouvre sa bouche et se lèche les lèvres à plusieurs reprises en voyant mon excitation, lance de petits mots cochons, soupir, halète, souffle. Tout cet enthousiasme a tôt fait de me libérer et je livre la marchandise dans un râle étouffé. Mon ventre est bien collé maintenant.
Par la suite, une serviette d’eau chaude pour éponger les dégâts. Cependant, l’heure n’est pas complétée et Cloé me le mentionne. Elle m’offre de finir ma séance en douceur, offre que j’accepte pour rétablir mon homéostasie. Avec ses ongles, elle grafigne doucement toutes les parties de mon corps et il est parcouru de doux frissons. Elle glisse ses mains sur moi et toute cette dynamique est vraiment délicieuse. Finalement la séance se termine. Une douche, quelques petits bisous, je descends et je rencontre Caro. Elle me demande si j’ai apprécié mon heure de détente. Bien sûr, comme toujours, le service était impeccable. J’ai été traité comme un V.I.P. ہ bientôt!
En résumé, si vous avez eu une journée difficile, si votre corps est paresseux, soufrant, Cloé est la personne indiquée pour remédier à cette situation. Ce n’est pas une fille racing, mais elle est fort jolie, très accueillante avec des cheveux et des yeux magnifiques. Par contre, sa plus belle qualité est qu’elle veut sincèrement et généreusement vous dorloter et vous gâter comme vous croyez que vous le méritez. Elle vous demande souvent vos besoins et malgré ses rares limites, elle essayera de vous satisfaire. Une fille remarquable pour combler des besoins de tendresse, d’affection et de détente. Elle nous fait nous sentir rapidement très bien.
Encore une fois, tout s’est passé trop vite, je suis à nouveau dehors et je marche vers ma voiture.....
Boum! Un choc formidable sur la vitre en face de moi me ramène à la réalité. Mon cœur s’emballe après coup et je sens une peur viscérale pénétrer en moi, mais ma raison a tôt fait de reprendre le dessus et je viens de comprendre qu’un oiseau égaré et de forte stature a percuté de plein fouet la vitre épaisse devant moi. Il a quitté son existence au même moment ou je quittais ma rêvasserie. Le cou cassé, cela ne pardonne pas. Pourtant, la tempête semble se calmer, j’entrevois au loin, du côté annonciateur de température, un début de clarté de couleur orange foncée. Le vent s’est lassé quelque peu, il semble perdre son plaisir à courir partout, inutilement. La pluie est moins dense, espacée, courbaturée. Dans quelques heures, tout sera fini. Même les plus grandes colères ne subsistent pas au temps!
Enfin, je pourrai retourner sur terre et reprendre une certaine vie humaine. Je pense déjà au plaisir, à l’alcool, aux femmes, à une femme, à cette femme que j’ai vu la dernière fois et qui m’avait offert le plus gentil et délicieux sourire.
Amant Romantique
Femmes de rêve, je vous aime